Matondo Vilu

Je réponds au nom de Matondo Vilu, je suis sympathisante au Johrei Center de Mokali. J’ai connu l’EMM par le canal de la sœur missionnaire Souzanne  Bakaji, membre dans cette église à cause de la maladie ; il y a de cela 6 jours.

J’ai souffert de la maladie depuis juillet 2018. Je vomissais et je faisais de convulsions sous forme de malaria souvent accompagné des crampes. Les parents m’ont amenée dans différents hôpitaux et centre de santé. J’étais soumise au traitement médical mais le résultat était loin d’être trouvé. Si j’allais un peu mieux cette semaine, la semaine suivante tout s’aggrave.

En dernier lieu, en consultation, le médecin a diagnostiqué le kyste et l’appendicite et a proposé une intervention chirurgicale urgente. Il m’a prescris les médicaments que j’ai continués à prendre. A cause de cela, j’ai été perfusé et même transfusé. Je n’avais pas d’appétit. Malgré cela, aucun symptôme n’a disparu.

Au mois de janvier dernier je me suis réveillée avec la jambe droite bloquée et je ne pouvais marcher seule. J’ai été emmenée à l’hôpital et le médecin a exigé une opération que j’ai subie tout de suite, soit le 27 janvier 2019 car selon lui, tout était dû toujours à l’appendicite et au kyste.

Onze jours après l’opération, je suis rentrée à la maison. Je me sentais mieux. Après quatre jours, j’ai commencé à éprouver des crampes, et à vomir. Ma mère a demandé : ‘’le médecin avait dit que ces crampes étaient dues au kyste et à l’appendicite, comment expliquer que ça continue après l’opération ? ‘’. Nous sommes rentrés à l’hôpital et j’ai été obligée de continuer le traitement médical. Et j’ai été encore une fois transfusée et perfusée, mais les symptômes n’ont pas disparu. Les crampes s’aggravaient davantage, je faisais des convulsions pendant longtemps, en durcissant mon corps et je devenais très forte comme un lion. Selon le médecin cela était dû toujours à la malaria. Les dépenses sont allées au delà de 400 $, pour chercher ma guérison dans les différents hôpitaux, alors que mon père est au chômage toujours à cause aussi de sa propre maladie. Devant la persistance de ces symptômes, la famille ne savait plus quoi faire.

Un jour, nous avons vu 3 missionnaires entrer à l’hôpital pour faire assistance religieuse sur une famille de sympathisants dont la fille était aussi opérée. Après leur prière, ils ont demandé à  mes parents de prier aussi pour moi. Ce que mes parents ont accepté. Ils m’ont donné le johrei en expliquant ses merveilles et en promettant aux parents que ma situation allait s’améliorer. Ce qui fut le cas car après le johrei, j’ai pu manger un avocat, un pain et prendre du thé.

Ce qui a motivé mes patents à demander aux missionnaires d’être acheminés à l’Eglise immédiatement et nous sommes sortis de l’hôpital sur demande de mes parents au médecin.

Arrivés à l’Eglise, les convulsions et les vomissements se poursuivaient ; nous étions reçus par le Ministre qui nous a écoutés attentivement et nous a expliqué davantage sur les activités de base de l’Eglise et le sens de la purification avant de nous orienter de :

  • Recevoir intensément le johrei,
  • Faire la réflexion profonde ;
  • Faire une offrande spéciale pour remercier pour la purification ;
  • Faire la pratique de sonen pour acheminer toutes ces souffrances,
  • Faire le nettoyage dans la maison et maintenir la fleur de lumière dans la maison.

En observant mes gestes de convulsions, le ministre a expliqué aux parents qu’il ne s’agissait pas de la malaria, car je rampais comme un serpent sur le sol ; il a dit qu’il s’agissait seulement d’une manifestation de l’ancêtre.

Bien que difficilement, à cause  de la faiblesse physique, je suis passée par la réflexion profonde où j’ai ouvert mon cœur devant le ministre ; les parents ont fait une offrande spéciale, et j’ai reçu abondamment le johrei jusqu’au soir. Le premier miracle était que les convulsions et crampes ainsi que les vomissements se sont arrêtés définitivement après deux heures de johrei. J’ai récupéré la force et désormais, je pouvais marcher seule sans le soutien de quelqu’un. J’ai continué à manger avec beaucoup d’appétit et à faire les scelles normalement. Les parents ont fait une autre offrande de remerciement pour la grâce reçue comme orienté.

En rentrant à la maison, nous sommes passés par l’hôpital où j’étais opérée. En nous revoyant, le médecin , les infirmiers et autres malades se sont étonnés  : ‘’ Matondo est vivante ? On croyait que tu étais partie mourir’’. Quand nous sommes arrivés à la maison, les voisins ont accouru pour me voir. Ils demandaient : ‘’Matondo est guérie ? Matondo est Guérie ?’’ Tous étaient surpris de me voir dans cet état de bonne santé, car quand ils venaient me visiter à l’hôpital, ils étaient préoccupés par l’aggravation de mon état de santé. Ils ont cherché à savoir le nom de l’Eglise qui m’a sauvée et certains ont pris l’adresse  en promettant  de s’y rendre. Nous avons déjà acheminé trois sympathisants à l’Eglise suite à ma guérison. Le lendemain les missionnaires sont venus faire le nettoyage dans la maison et y ont mis la fleur.  Actuellement je suis en parfaite santé.

En outre, mon père qui souffrait de maux de tête depuis deux ans et a cessé de travailler à cause de la maladie, en recevant le johrei, a commencé à se sentir mieux. Surtout après le nettoyage dans notre maison, il dort comme un bébé alors qu’avant, il dormait difficilement à cause des insomnies et de maux de tête.

Pour moi, l’Eglise messianique mondiale est une très forte Eglise qui a le pouvoir de sauver l’humanité.

Je prends le compromis de devenir membre pour participer aussi au salut des autres personnes. J’ai le potager, nous mettons régulièrement des fleurs de lumière dans la maison.

Je remercie le Dieu Suprême, le Messie Meishu-Sama, mes ancêtres pour m’avoir guidé sur cette voie du salut sans oublier les membres et sympathisants pour leur assistance pendant ma purification.

Merci beaucoup!

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